Tobias Sammet, leader et chanteur charismatique allemand d’EDGUY, annonça un retour fracassant d’AVANTASIA, en 2010, avec à la clé un double album conceptuel d’Opéra Metal. Deux chapitres sont programmés - The Wicked Symphony et Angel Of Babylon – avec pléthore d’invités.
Force est de constater qu’avec un seul clip vidéo promotionnel (Dying For An Angel en compagnie de Klaus Meine), The Wicked Symphony amassait les louanges - logique, le clip vidéo était un morceau issu de l’opus ! - tandis que Angel Of Babylon pâtissait d’un manque de reconnaissance. S’ajoutent à cela les artworks à l’opposé : l’un clair et attractif, l’autre sombre et légèrement repoussant... Une faute de goût et de professionnalisme, n’est-ce pas ? A vrai dire, la faute de goût, c’est selon chacun. J’aime bien le portrait d’Angel Of Babylon. La faute de professionnalisme, elle est flagrante ! Comment espérer attirer l’auditeur et chaland si la promotion ne repose que sur l’une des deux œuvres ? Ce n’est pas folichon...
En découvrant les deux pièces musicales, je m’attendais malheureusement au jour et la nuit. D’une part, la joie et chaleur, d’autre part, la mélancolie et la froideur. Que nenni ! Les deux disques foisonnent de joie, de mélancolie, de tendresse, de beauté et chaleur (exit la froideur) ! Je trouve, d’ailleurs, les deux œuvres curatives (voire thérapeutiques) dans le sens où, face à un moment de faiblesse ou blues, une écoute d’AVANTASIA et - hop ! - je suis remis sur pied ! Il y a une telle profondeur dans la musique de Tobias Sammet, comme si le musicien y avait glissé une part de son âme... Je reste admiratif du travail d’orfèvre du monsieur.
Les œuvres sont construites de telle manière que j’ai le sentiment d’entamer un voyage et lorsque surgit la fin, l’amertume s’empare de moi. Est-ce fini ? N’ai-je pas le droit à une suite ? La seule suite possible et évidente, c’est d’appuyer de nouveau sur le bouton « play » de mon lecteur CD et de reprendre mes pérégrinations musicales.
Force est de constater qu’avec un seul clip vidéo promotionnel (Dying For An Angel en compagnie de Klaus Meine), The Wicked Symphony amassait les louanges - logique, le clip vidéo était un morceau issu de l’opus ! - tandis que Angel Of Babylon pâtissait d’un manque de reconnaissance. S’ajoutent à cela les artworks à l’opposé : l’un clair et attractif, l’autre sombre et légèrement repoussant... Une faute de goût et de professionnalisme, n’est-ce pas ? A vrai dire, la faute de goût, c’est selon chacun. J’aime bien le portrait d’Angel Of Babylon. La faute de professionnalisme, elle est flagrante ! Comment espérer attirer l’auditeur et chaland si la promotion ne repose que sur l’une des deux œuvres ? Ce n’est pas folichon...
En découvrant les deux pièces musicales, je m’attendais malheureusement au jour et la nuit. D’une part, la joie et chaleur, d’autre part, la mélancolie et la froideur. Que nenni ! Les deux disques foisonnent de joie, de mélancolie, de tendresse, de beauté et chaleur (exit la froideur) ! Je trouve, d’ailleurs, les deux œuvres curatives (voire thérapeutiques) dans le sens où, face à un moment de faiblesse ou blues, une écoute d’AVANTASIA et - hop ! - je suis remis sur pied ! Il y a une telle profondeur dans la musique de Tobias Sammet, comme si le musicien y avait glissé une part de son âme... Je reste admiratif du travail d’orfèvre du monsieur.
Les œuvres sont construites de telle manière que j’ai le sentiment d’entamer un voyage et lorsque surgit la fin, l’amertume s’empare de moi. Est-ce fini ? N’ai-je pas le droit à une suite ? La seule suite possible et évidente, c’est d’appuyer de nouveau sur le bouton « play » de mon lecteur CD et de reprendre mes pérégrinations musicales.
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