J'ai longuement réfléchi.
Comment introduire BLUE ÖYSTER CULT (et par extension leur premier effort studio), sans omettre x ou y détails sur la naissance de cet o.v.n.i. ?
Mon état d'esprit...
J'appréhendais tellement la réaction d'un quelconque torrer d'internaute (NLDR : "torrer" = casse-cul en breton) se fendant d'un commentaire acide sur l'approximation de mon article.
J'ai donc acquis le livre Agents Of Fortune par Martin Popoff, formidable ouvrage historique sur le groupe, afin d'éviter une grossière erreur de restitution (voire d'appréciation).
Ainsi, plus j'appréhendais, moins je souhaitais rédiger un papier sur le disque éponyme de BLUE ÖYSTER CULT.
Finalement, j'ai pris du recul et ai conclu la chose suivante : l'article ne reflète que l'opinion/la vision de l'auteur (en l'ocurrence MON avis et approche de l'un de mes groupes préférés !) ; les emmerdeurs je les emmerde !
Blue Öyster Cult, un essai...
L'Histoire retient ceci : BLUE ÖYSTER CULT fut découvert par le désormais célèbre Sandy Pearlman. Ce personnage fera partie intégrante du groupe, s'investissant de la composition musicale jusqu'au management.
L'objectif secret du monsieur ? Imposer BLUE ÖYSTER CULT comme le pendant américain des occultes britanniques BLACK SABBATH. Comparaison dont souffrira à tort la bande américaine.
Malgré cette erreur d'appréciation (ou de communication ?), Sandy Pearlman contribuera grandement à l'essor du culte de l'huitre bleue.
En 1972, à la suite de rebondissements (par exemple l'instabilité de l'équipe ; le contrat avorté avec Elektra Records) et ravalements de façade (par exemple, le groupe baptisé d'abord SOFT WHITE UNDERBELLY, ensuite renommé BLUE ÖYSTER CULT pour finaliser sa mutation en THE BLUE ÖYSTER CULT), les américains sortent enfin leur disque éponyme via le label CBS.
Blue Öyster Cult est ovniesque. Sincèrement ovniesque. Il s'inscrit dans la lignée psychédélique propre aux 60's mais s'en distingue aussi par une approche foncièrement plus dure. Il s'agit plus ou moins d'une musique Heavy Rock Psychédélique et Occulte. L'accent n'est pas simplement mis sur l'instrumental, il l'est aussi sur les paroles.
Des dix titres composant l'opus, je retiens principalement l'excellent Stairway To The Stars (le riff me rappelle sensiblement celui de La Grange par ZZ TOP), Before The Kiss, A Redcap, Cities On Flame With Rock And Roll et Redeemed (ce dernier est, pour ma part, représentatif du son BLUE ÖYSTER CULT développé sur les prochaines productions studio).
Si vous avez l'opportunité d'acquérir l'une des récentes rééditions, sachez que certaines contiennent des bonus dont l'unique témoignage du passage de BÖC chez Elektra Records. Il s'agit de la chanson What Is Quicksand.
Tant d'éléments sont à pointer ici et là, tant d'anecdotes sont à narrer au sujet de ce premier essai. Un premier essai à qualifier de fascinant ! Non pas le meilleur, mais sans doute l'un des (si ce n'est "LE") plus fascinants !
Comment introduire BLUE ÖYSTER CULT (et par extension leur premier effort studio), sans omettre x ou y détails sur la naissance de cet o.v.n.i. ?
Mon état d'esprit...
J'appréhendais tellement la réaction d'un quelconque torrer d'internaute (NLDR : "torrer" = casse-cul en breton) se fendant d'un commentaire acide sur l'approximation de mon article.
J'ai donc acquis le livre Agents Of Fortune par Martin Popoff, formidable ouvrage historique sur le groupe, afin d'éviter une grossière erreur de restitution (voire d'appréciation).
Ainsi, plus j'appréhendais, moins je souhaitais rédiger un papier sur le disque éponyme de BLUE ÖYSTER CULT.
Finalement, j'ai pris du recul et ai conclu la chose suivante : l'article ne reflète que l'opinion/la vision de l'auteur (en l'ocurrence MON avis et approche de l'un de mes groupes préférés !) ; les emmerdeurs je les emmerde !
Blue Öyster Cult, un essai...
L'Histoire retient ceci : BLUE ÖYSTER CULT fut découvert par le désormais célèbre Sandy Pearlman. Ce personnage fera partie intégrante du groupe, s'investissant de la composition musicale jusqu'au management.
L'objectif secret du monsieur ? Imposer BLUE ÖYSTER CULT comme le pendant américain des occultes britanniques BLACK SABBATH. Comparaison dont souffrira à tort la bande américaine.
Malgré cette erreur d'appréciation (ou de communication ?), Sandy Pearlman contribuera grandement à l'essor du culte de l'huitre bleue.
En 1972, à la suite de rebondissements (par exemple l'instabilité de l'équipe ; le contrat avorté avec Elektra Records) et ravalements de façade (par exemple, le groupe baptisé d'abord SOFT WHITE UNDERBELLY, ensuite renommé BLUE ÖYSTER CULT pour finaliser sa mutation en THE BLUE ÖYSTER CULT), les américains sortent enfin leur disque éponyme via le label CBS.
Blue Öyster Cult est ovniesque. Sincèrement ovniesque. Il s'inscrit dans la lignée psychédélique propre aux 60's mais s'en distingue aussi par une approche foncièrement plus dure. Il s'agit plus ou moins d'une musique Heavy Rock Psychédélique et Occulte. L'accent n'est pas simplement mis sur l'instrumental, il l'est aussi sur les paroles.
Des dix titres composant l'opus, je retiens principalement l'excellent Stairway To The Stars (le riff me rappelle sensiblement celui de La Grange par ZZ TOP), Before The Kiss, A Redcap, Cities On Flame With Rock And Roll et Redeemed (ce dernier est, pour ma part, représentatif du son BLUE ÖYSTER CULT développé sur les prochaines productions studio).
Si vous avez l'opportunité d'acquérir l'une des récentes rééditions, sachez que certaines contiennent des bonus dont l'unique témoignage du passage de BÖC chez Elektra Records. Il s'agit de la chanson What Is Quicksand.
Tant d'éléments sont à pointer ici et là, tant d'anecdotes sont à narrer au sujet de ce premier essai. Un premier essai à qualifier de fascinant ! Non pas le meilleur, mais sans doute l'un des (si ce n'est "LE") plus fascinants !