L'un de mes plus gros coups de coeur 2018, c'est d'avoir approfondi le sujet ICED EARTH.
Contexte
Je maîtrisais le disque The Dark Saga depuis quelques années cependant je n'avais pas dégusté le reste discographique des américains. A l'époque, The Dark Saga m'avait emballé car le groupe abordait l'atypique thématique comics à travers le personnage torturé de Spawn.
Par ailleurs, le papa de Spawn - Todd McFarlane - signait les illustrations de l'album ! Recevoir la participation (et implicitement la bénédiction !) du monsieur, ça en disait long sur l'oeuvre musical !
J'ai eu l'opportunité, en 2018, de découvrir Something Wicked This Way Comes. A cet instant précis, j'ai su que je basculais définitivement dans l'univers d'ICED EARTH.
Et effectivement, j'ai eu confirmation en acquérant la doublette The Glorious Burden / Framing Armageddon : Something Wicked Part I.
J'aime Jon Schaffer. Il n'est pas fréquent d'avoir une basse au chant, dans le courant Metal.
J'aime encore plus Tim Owens car il s'est révélé magistral au sein d'ICED EARTH ! Oui, une révélation ! L'américain est remonté dans mon estime !
The Glorious Burden
The Glorious Burden est une formidable fresque historique !
Cette glorieuse charge m'a subjugué. Jon Schaffer, compositeur attitré, propose une musique d'une grande intensité ! De même, il exploite intelligemment le potentiel de son nouveau chanteur. Autant de subtilité, d'émotion dans l'interprétation vocale de Tim Owens... j'en reste sans voix !
L'exceptionnel se situe, pour ma part, dans la trilogie dédiée à Gettysburg. J'aime lire le roman historique The Killers Angels (rédigé par Michael Shaara) tout en écoutant cette sanglante saga. D'ailleurs, Jon Shaffer semble s'être grandement inspiré de ce livre, véritable référence outre-atlantique !
Rien que pour cette trilogie musicale, l'album vaut le coup d'oreille. Elle me fout des frissons à chaque écoute ! S'imaginer les Etats Confédérés provoquer le destin (dans un élan de désespoir ou d'espoir ?) en s'aventurant si loin en territoire ennemi. Et l'Union l'attendant au tournant. Tout ceci dans un bled perdu : Gettysburg.
Mon seul regret, c'est qu'ICED EARTH n'a pas proposé d'autres fresques historiques de cette envergure !
Framing Armageddon : Something Wicked Part I
Ce n'est pas une fresque historique. Non, c'est un conte.
L'heure est au voyage. Un voyage dans une galaxie lointaine, très lointaine...
L'histoire narre le massacre du peuple Sétian par des colons humains. Ces derniers bien décidés à s'établir sur cette nouvelle terre. En réponse, les rescapés Sétians élaborent un plan pour prendre revanche contre leur oppresseur : vivre parmi eux ; tirer des enseignements de cette "cohabitation" ; préparer l'élu (plutôt l'instrument) qui fondra sur eux tel l'aigle sur sa proie.
L'histoire, je vous l'accorde, est manichéenne cependant saisissante ! ICED EARTH nous donne l'illusion d'être confortablement installé au coin du feu, à écouter un ancien conter cette épopée.
Je n'aurais jamais repris l'exploration discographique d'ICED EARTH sans ce Framing Armageddon : Something Wicked Part I.
Un put*** de déclic que cet album !
Contexte
Je maîtrisais le disque The Dark Saga depuis quelques années cependant je n'avais pas dégusté le reste discographique des américains. A l'époque, The Dark Saga m'avait emballé car le groupe abordait l'atypique thématique comics à travers le personnage torturé de Spawn.
Par ailleurs, le papa de Spawn - Todd McFarlane - signait les illustrations de l'album ! Recevoir la participation (et implicitement la bénédiction !) du monsieur, ça en disait long sur l'oeuvre musical !
J'ai eu l'opportunité, en 2018, de découvrir Something Wicked This Way Comes. A cet instant précis, j'ai su que je basculais définitivement dans l'univers d'ICED EARTH.
Et effectivement, j'ai eu confirmation en acquérant la doublette The Glorious Burden / Framing Armageddon : Something Wicked Part I.
J'aime Jon Schaffer. Il n'est pas fréquent d'avoir une basse au chant, dans le courant Metal.
J'aime encore plus Tim Owens car il s'est révélé magistral au sein d'ICED EARTH ! Oui, une révélation ! L'américain est remonté dans mon estime !
The Glorious Burden
The Glorious Burden est une formidable fresque historique !
Cette glorieuse charge m'a subjugué. Jon Schaffer, compositeur attitré, propose une musique d'une grande intensité ! De même, il exploite intelligemment le potentiel de son nouveau chanteur. Autant de subtilité, d'émotion dans l'interprétation vocale de Tim Owens... j'en reste sans voix !
L'exceptionnel se situe, pour ma part, dans la trilogie dédiée à Gettysburg. J'aime lire le roman historique The Killers Angels (rédigé par Michael Shaara) tout en écoutant cette sanglante saga. D'ailleurs, Jon Shaffer semble s'être grandement inspiré de ce livre, véritable référence outre-atlantique !
Rien que pour cette trilogie musicale, l'album vaut le coup d'oreille. Elle me fout des frissons à chaque écoute ! S'imaginer les Etats Confédérés provoquer le destin (dans un élan de désespoir ou d'espoir ?) en s'aventurant si loin en territoire ennemi. Et l'Union l'attendant au tournant. Tout ceci dans un bled perdu : Gettysburg.
Mon seul regret, c'est qu'ICED EARTH n'a pas proposé d'autres fresques historiques de cette envergure !
Framing Armageddon : Something Wicked Part I
Ce n'est pas une fresque historique. Non, c'est un conte.
L'heure est au voyage. Un voyage dans une galaxie lointaine, très lointaine...
L'histoire narre le massacre du peuple Sétian par des colons humains. Ces derniers bien décidés à s'établir sur cette nouvelle terre. En réponse, les rescapés Sétians élaborent un plan pour prendre revanche contre leur oppresseur : vivre parmi eux ; tirer des enseignements de cette "cohabitation" ; préparer l'élu (plutôt l'instrument) qui fondra sur eux tel l'aigle sur sa proie.
L'histoire, je vous l'accorde, est manichéenne cependant saisissante ! ICED EARTH nous donne l'illusion d'être confortablement installé au coin du feu, à écouter un ancien conter cette épopée.
Je n'aurais jamais repris l'exploration discographique d'ICED EARTH sans ce Framing Armageddon : Something Wicked Part I.
Un put*** de déclic que cet album !