
Burning Love est un quatorze-titres, de 2012, dont nous pouvons exclure les instrumentaux Guardian Pipes et Bachrock. Cela ne signifie pas qu’ils sont inutiles, simplement qu’en les excluant, l’opus est réduit à douze réels morceaux. Comme à son habitude, CANNON joue sur l’émotion, l’agressivité, la mélodie et la nostalgie. Un melting-pot réussi, pour ma part. Les chansons s’enchaînent sans temps mort.
Si je devais résumer brièvement Burning Love, alors je qualifierai le disque de « pièce musicale sans prétention mais foutrement jouissif ! ».